Docteur Duchmoll, j'ai fait un petit tour sur votre site ! j'ai bien ri ce matin de la vidéo où vous parlez de chant mathématique, je crois ! quelle rigolade ! Les leçons d'Aubade sont aussi très zamusantes ! Bon, tout va bien, l'humour existe encore !


(deux semaines plus tard...)

Philippe, tu m'amuses et m'intéresses beaucoup ! Je désespérais de trouver quelque personnalité qui se distingue de l'ordinaire, sur Facebook. Maintenant, c'est chose faite ! Tous tes articles sont passionnants : je ne te connais pas beaucoup, voire pas du tout, pour ainsi dire, mais tu es "un cas"... !

Je suppose que tu as beaucoup d'autres activités, à Paris, et que tu es entouré de gentils amis, et que tu passes donc du temps bien agréable. Tu m'apportes la petite étincelle d'humour qui me remonte le moral et me fait croire qu'il existe encore des gens en bonne santé morale.

On ne rit pas beaucoup, sur Facebook. Heureusement qu'il y a quelques décérébrés littéraires qui me dérident les zygomatiques. Quant à moi, j'ai décidé de débloquer dru, dans mes activités lexicales et stylistiques. Non mais !

A Bientôt, et merci de ta gentille amitié,

Grosses bises affectueuses pour toi,%

Elisabeth Lepidi


Chère Elisabeth Lepidi,

Je vous remercie pour l'ensemble de vos aimables éloges onctueux qui me vont droit au coeur tendre de toute notre équipe - dont mon ami Philippe - équipe soucieuse de transmettre ce que mon grand ami Nietzsche appelait en riant comme Zarathoustra "Le gai savoir". Mais il ne le put que par les travaux de nos grands ancêtres spirituels : Erasme, éminent humaniste comme vous le savez, et auteur de l'Eloge de la folie, à lire et à relire ; mais aussi, bien entendu, son fils spirituel, François Rabelais (il se réclamait comme tel ; surtout commencer par le Pantagruel et non par Gargantua ; et chercher une version en français moderne, sinon cela décourage souvent, tant pis pour les puristes qui ne sont pas souvent partageurs). Ces deux auteurs vous remonteront eux aussi bien souvent le moral, ainsi que bien d'autres, mais vous me poserez la question alors, si vous le souhaitez.

Votre dévoué, Docteur Duchmoll.